Allo...allo
Foi d’Euphrasie Vandeputte, je ne comprend pas pourquoi les gens ne peuvent pas se passer de téléphone! Même les ketje ont leur smartphone!
Je vous parle évidemment d’un temps que les moins de cinquante ne peuvent pas connaître, mais à l’époque, il n’y avait que deux foyers qui avaient le téléphone dans ma strotje. Quand on avait un coup de fil à donner, on allait donc chez la personne qui avait le téléphone et à coté de l’appareil, il y avait un potje ou on glissait une pièce de cinq francs.
Et sinon il y avait une cabine téléphonique devant ce qui est maintenant le commissariat, ou alors on allait au staminei ou on pouvait aussi recevoir nos appels.
Et si on devait appeler les urgences comme les pompiers, il y avait des bornes (rouges) presque’à tous les carrefours, il suffisait de briser la vitre et pousser le bouton pour être en contact avec le central. En plus, en ce temps, il y avait une caserne de pompier avec une éautopompe en permanence là ou se trouve à présent le parking du commissariat.
A propos de commissariat, il parait que les bottins téléphoniques vont disparaitre . Ce n(est pas une bonne chose, non pas qu’ils seraient utilisés pour « faire » avouer des éventuels suspects (vu le nombre d’arrestations à Harenà mais plutôt pour équilibrer le mobilier bancal!