Ce mercredi 13 mars quelques riverains  rencontraient un responsable de la gestion du Parc "Kasteelhof",  notant  attentivement les remarques émises par  les personnes  concernées.

Les plaintes portaient essentiellement sur le type de clôture séparant le parc des jardins des maisons du Beemdgracht et de la rue Twyeninck.  Et il est vrai tout d’abord que les occupants du parc ont une vue plongeante non seulement sur tous les jardins, mais même sur les rez-de-chaussée et premiers étages des maisons en question.

Qui plus est , la hauteur des clôtures est,  par endroits, vraiment minime ce qui fait en sorte que certains promeneurs  les enjambent,  ou passent carrément  par en  dessous ,car à certains  endroits le ravinement des sols a fait en sorte qu’un espace est devenu suffisamment grand  sous la clôture pour que  l’on puisse s’introduire dans ces lieux privatifs avec tout ce que cela suppose  comme conséquence pour ces riverains qui se sentent insécurisés dans leur espace de vie privée et pour cause !.

Bien entendu, s’y exprime  un véritable « sentiment » d’insécurité, qu’il convient d’entendre… !

Des craintes qui  risquent  bien d’être entretenues  une fois la prison construite et occupée par ses internés, et qui, en ce qui concerne l’I.P.P.J.  présente,  nous amènera  certainement une multiplication conséquente de bandes qui  circuleront  alors dans notre espace de vie et plus vraisemblablement vers ces zones vertes.

Une des solutions proposées par les personnes concernées  aux services compétents de la Ville, consisterait à couvrir les clôtures actuelles par un système mécanique de masquage genre toiles bordant les cours de tennis ou encore par des  lamelles plastiques à insérer  au sein des grilles.

Mais là, je doute que ce genre « d’emplâtre » fasse long feu. L’érosion mécanique ajoutée à celle d’actes de vandalisme ordinaires ne manquera pas de les mettre à mal en peu de temps.

Ce petit groupe de riverains  fit donc le tour du parc en mettant le doigt sur leurs inquiétudes.
Voyons ce que la Ville et nos responsables des espaces verts nous offriront pour soulager la crainte de ces riverains en quête de tranquillité …

D. G.

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photos: Francis ADRIAENS