Le forçat des patates
RNesto est en veine d'inspiration en ce moment et se pose en véritable forçat le la planche à dessin. Voici son neuvième opus de sa série sur les patatistes:
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RNesto est en veine d'inspiration en ce moment et se pose en véritable forçat le la planche à dessin. Voici son neuvième opus de sa série sur les patatistes:
RNesto semble ne plus quitter son carnet de croquis, et, selon lui, les patatistes du Keelbeek auraient... la frite!!! Jugez plutôt:
Poursuivant sa série "Patates", RNesto nous livre un nouveau dessin, son clin d'oeil en quelque sorte:
Non, je ne fais pas l’apologie d’un adepte de la plante à Nicot ! C’est d’un volcan islandais nommé Bardarbunga que je parle. Il est rentré en éruption et la crainte est qu’il ne perturbe le trafic aérien.
Souvenez-vous, en 2010, l’éruption du Eyjafjalajökull (que celui qui est capable de prononcer ce nom me contacte) avait provoqué la fermeture d’une bonne partie de l’espace aérien européen, bloquant ainsi près de 10 millions de passagers dans les aéroports.
Mais certains bruxellois, dérangés par le passage des avions se mettent à rêver d’une situation semblable.
Ainsi cette habitante de Laeken qui se demande pourquoi il n’y a pas de volcan à proximité de Bruxelles.
Tout ce que j’ai pu trouver qui a plus ou moins la forme d’un volcan, c’est la butte du Lion de Waterloo (à Braine l’Alleud). Mais je doute qu’il crache un jour des cendres qui cloueront les avions au sol !
Merci à Tanguy de Ghellinck (blog SudInfo Waterloo)
Le ciel de Haren sentira-t-il un jour la frite ? Le survol de notre village est inévitable (on « fêtera » d’ailleurs cet automne les 100 ans de l’aérodrome de Haren), mais les ressources en pétrole ne seront pas éternelles et constructeurs et transporteurs cherchent des alternatives.
Ainsi, une compagnie batave opère depuis l’an dernier un vol hebdomadaire entre New York et Amsterdam et un autre entre la ville hollandaise et les Antilles avec des avions volant avec du carburant fabriqué à partir d’huile de friteuse recyclé !
La solution semble séduisante, mais il faut rester réaliste : pour franchir l’Atlantique, un Boeing 777 a besoin d’environ 60 tonnes de carburant ! Un frituriste que j’ai consulté (fritkot BOMPA à Ixelles) m’a affirmé consommer un peu plus de 100 kg de graisse à frites par semaine. Si cela vous tente, faites le calcul pour savoir combien de frites il vous faudra manger pour voyager en avion… (il y a actuellement plus de 25000 avions de ligne en service dans le Monde).
Ce n’est donc pas demain que le ciel de Haren sentira la frite !!!
Et si on transformait les coquilles de moules en biocarburant ?!
Dessins: RNesto