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Racket de la STIB

DSCN0389.JPGL'affaire n'est pas neuve, mais la solution se fait attendre. La STIB, pour améliorer dit-elle sa vitesse commerciale, fait payer plus cher les titres de transport achetés à bord des véhicules (en fait,en créant un surcout, elle espère décourager l'achat de titres de transport dans ses véhicules) . Cette idée pourrait sembler louable si, il existait des points de vente partout! Or, à Haren, il est impossible d'acquérir un billet hors des véhicules. Les harenois sont donc contraints de payer leur billet plus cher! Cette situation est vécue comme un véritable racket de la part d'une société qui se devrait être un service public. Cette situation est ressentie par les harenois comme un véritable comportement discriminatoire de la part de cette société qui se prétend de "service public"!

Elle est d'autement plus mal vécue, que Haren accueillant le plus grand dépôt de la STIB, subit tous les matins la pollution des dizaines de bus qui démarrent (on sait que c'est à froid qu'un diesel pollue le plus!).

stib.jpgSi à la SNCB, on fait payer un supplément si on ne dispose pas de billet lors de l'embarquement, celui-ci ne peut être réclamé si on monte dans le train dans une gare qui ne dispose pas de guichets ou si ceux-ci sont fermés à l'heure de l'embarquement. Du côté de la STIB, on nous répond qu'une telle "modulation" est irréalisable! Mais toujours aucune solution pour les harenois!

Mais si la STIB veut vraiment améliorer sa vitesse commerciale, elle pourrait commencer par contrôler (et sanctionner) certains de ses chauffeurs, notamment ceux qui s'arrêtent et abandonnent leur véhicule avec ses passagers pour aller se chercher des frites, leur journal ou quelque boisson. Ou encore ceux qui passent de longues minutes à raconter leur vie à leur collègue lors du changement de service! Si ce genre de situations est le fait d'une minorité, elles sont pourtant vécues au quotidien!

 

C'était au temps ou l'expression "service public" avait encore un sens!

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