Expo sauvage
Depuis quelques jours, on peut voir dans certains quartiers de Haren des oeuvres accrochées à des réverbères, poteaux et mêmes des boîtes à lettres.
Si les auteurs restent anonymes, leur production dénonce à la fois la venue de la future prison et l'enclavement du village par l'implantation de plusieurs méga-infrastructures. Il est donc presque certain qu'il s'agit de l'oeuvre d'harenois mécontents du traitement réservé à leur village.
Et pourtant, les harenois n'ont vraiment pas à se plaindre vu les avantages dont ils bénéficient (relire "Haren, terre de superlatifs" en cliquant ici). Et la venue de la prison est la dernière étape d'un processus initié il y a bien longtemps (relire "Cinq barreaux et un cadenas" en cliquant ici).
Et si Païri Daïza aura ses pandas (ours tachetés) à Haren, nous aurons des êtres à rayures!