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Je vous avais parlé il y a quelques temps de cet harenois qui avait planté des salades au milieu des fleurs dans son jardinet à front de rue. Depuis elles ont poussé et trouvé naturellement le chemin d'estomacs!
A présent ce sont des plants de courgettes qu'on peut observer dans le même jardinet avec un effet tout aussi décoratif!
Je ne vous propose pas de compter les papillons laissés sur le pare brise de votre voiture, mais bien ceux qui fréquentent votre jardin!
Voir des papillons passer de fleurs en fleurs dans son jardin est certainement un spectacle réjouissant. Malheureusement, ceux-ci se font rares. Plusieurs facteurs en sont les causes: des conditions climatiques défavorables, l'usage de pesticides mais surtout le manque de variété végétale. Les papillons, comme leurs chenilles, sont souvent inféodés à une ou deux espèces de plantes. Si celles-ci disparaissent, leur papillons aussi.
Dans le but d'adopter les meilleures stratégies de conservation, Natagora organise pour la septième fois ces 2 et 3 août un recenssement auquel chacun est invité à participer (formulaire d'inscription en ligne en cliquant ici)
C’est à Kasteelhof, au carrefour avec la rue Twyeninck que ce massacre a eu lieu, et même s’il a été rapidement stoppé par les forces de l’ordre appelées par des riverains, on compte une victime.
Cette dernière est un des cinq marronniers qui peuplent ce coin de rue. Un promoteur veut bâtir à la place un immeuble de sept appartements. Projet qui, au dire des habitants du quartier détonera dans le voisinage constitué de maisons individuelles. Ce projet est passé en Commission de Concertation le 6 mars 2012, soit sous la précédente législature. Un permis n’étant valable que deux anspartir de sa délivrance…
Mais ce qui a permis aux riverains de faire cesser l’abatage, au grand dam du promoteur est une Ordonnance de la région de Bruxelles-Capitale dont voici un extrait:
Et les peines prévues sont :
Les habitants avaient prévu des copies du Moniteur. Après deux heures de palabres, le promoteur a du s’incliner, mais il reviendra à la charge.
Reste qu’une infraction a bel et bien été commise, et si on peut comprendre qu’un quidam ignore cette disposition légale, il est douteux qu’une entreprise d’abatage et d’élagage l’ignore. Pour les riverains l’entrepreneur a agit en pleine connaissance de cause.
Mais les irréductibles n’ont pas encore dit leur dernier mot !
Au cours d’une de vos balades à Haren, vous verrez peut-être de grands volatiles dont la présence pourrait sembler insolite dans notre village.
Une demi-douzaine de nandous ont en effet élu domicile dans un pré qu’ils partagent avec des moutons. Ces cousins des autruches sont originaires d’Amérique du Sud (Argentine, Bolivie, Brésil) ou ils fréquentent les pampas herbeuses. Excellents coureurs, leur course atteint les 60 m/h avec des pointes à 80. Lorsqu’ils fuient, ils pratiquent une course en zig zag.
Si comme leurs cousines africaines leur viande est appréciée, ils ne donnent pas de belles plumes comme celles qui ornent les coiffes des Gilles de Binche (entre autres).
C'est sous un Soleil de plomb,qu'une légère brise n'arrivait pas à raffraîchir, que les moissons ont débuté ce mercredi à Haren. C'est de l'avoine qui est récolté cette année sur les champs situés entre la rue de la Paroisse et la rue de l'Osier Fleuri.
Les agriculteurs ne choisissent pas la date des moissons au hazard (l'an dernier c'était le 21 juillet). En effet, il faut que la céréale soit mure et sèche (sinon elle fermenterait lors du stockage). S'il a plu les jours précédents, il faut donc attendre. En plus, pour la moisson, les agriculteurs font appel à des firmes spécialisées qui passent d'exploitation en exploitation. Les moissoneuses représentent un investissement trop important pour une seule exploitation et leur maniement requiert une certaine expertise.
Si les grains seront rapidement ensilés, la paille restera à sécher encore quelques jours sur les champs avant d'être mise en rouleaux et stockée. L'an dernier cela avait donné lieu à un phénomène curieux: les tourbillons avaient emporté de la paille à plusieurs centaines de mètres de là, notamment rue Harenheyde (relire "Pluie de paille" en cliquant ici).
La plupart des harenois souhaitent que ce ne soit pas une des dernières moissons auxquelles on assiste dans notre village et en profitent pour rappeller aux élus que Haren, ce n'est pas la Ville!