Aux croyants
Voici une info qui pourrait intéresser certains harenois:
Comme vous le savez tous à présent, l'église Ste Élisabeth de Haren ne propose plus de célébrations en français depuis trois ans déjà. Ce qui contraint les gens qui le souhaitent à se déplacer vers une autre paroisse (St Vincent à Evere, Notre-Dame ou Sainte Suzanne à Schaerbeek). Cette situation n'est pas toujours facile pour ceux qui ont du mal à se déplacer. En outre, notre village y perd certainement des moments de rencontres très privilégiés !
Dès lors, pour permettre à tous de se retrouver, pour retisser les liens qui se sont distendus et, pourquoi pas, faire renaître une communauté chrétienne au sein de notre petite entité, Jean-Marie Bergeret – qui a été prêtre à Haren pendant plusieurs années – propose une célébration les mercredis de Carême, au presbytère de Haren, rue de Verdun, 360.
Nous commencerons les mercredis 4 et 11 mars, à 20h.
Ensuite, nous espérons pouvoir continuer les 18 et 25 mars.
Si vous êtes intéressés d'y participer, merci d'adresser un e-mail à bergeretjm@skynet.be ou de laisser un message avec vos coordonnées précises à Jean-Marie BERGERET au 0475 81 93 61.
Votre réponse est attendue pour le 10 février au plus tard.
D'avance merci de votre participation et au plaisir de nous rencontrer nombreux.






C'était à une autre époque (mais pas si lointaine), avant la télévision et les transports individuels. Les harenois se retrouvaient autour d'une partie de carte, d'un concours de pigeons, pour sceller une transaction entre agriculteurs et grossistes ou plus simplement pour papoter autour d'un verre.
Peu à peu, les débits de boissons ont fermé. Ceux qui restent, doivent se battre au quotidien pour survivre. Il en reste six sur l'ensemble de Haren: trois au centre, deux rue de Verdun et un rue Harenheyde; un chaussée de Haacht (coin rue Harenheyde), un au coin de la chaussée de Buda et de la rue du Dobbelenberg et un à l'angle de la digue du Canal et de la chaussée de Buda (près du pont du même nom).
Les autres établissements ont soit été démoli comme celui qui se trouvait à l'angle de la rue de Verdun et de la rue de la Paroisse (emplacement à présent occupé par un canisite) ou réhabilités en habitations et aucun signe ne laisse deviner leur activité passée:






