En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Une dernière occasion de présenter ses voeux pour l'année nouvelle, c'est ce vendredi 30 janvier que le Comité de Haren invite les habitants à son traditionnel drink.
Une occasion pour les harenois de se rencontrer et peut-être d'y croiser nos élus (la dernière fois que notre bourgmestre est venu à la rencontre des harenois, c'était lors du drink de l'an dernier...)
Le Comité de Haren vous attend donc ce vendredi 30 janvier à partir de 19 heures à la Maison de Quartier, rue Cortenbach, 11
13! Ce nombre n'est pas seulement l'ancien code postal de notre village, c'est aussi le nombre de cafés qui étaient implantés entre la gare de Haren-Sud et la rue Cortenbach, et ce sans compter les autres dispersés ailleurs.
C'était à une autre époque (mais pas si lointaine), avant la télévision et les transports individuels. Les harenois se retrouvaient autour d'une partie de carte, d'un concours de pigeons, pour sceller une transaction entre agriculteurs et grossistes ou plus simplement pour papoter autour d'un verre.
Mais il n'y a pas que les habitants du village qui fréquentaient ces établissements. Les travailleurs des usines (UPL, DE KEYN, VTR...) s'y arrêtaient avant de prendre le train qui les ramenait chez eux.
Les habitudes ont changé: la télévision retient les gens chez eux, et s'ils veulent s'amuser "dehors", la voiture personnelle facilite leurs déplacements hors de Haren.
Peu à peu, les débits de boissons ont fermé. Ceux qui restent, doivent se battre au quotidien pour survivre. Il en reste six sur l'ensemble de Haren: trois au centre, deux rue de Verdun et un rue Harenheyde; un chaussée de Haacht (coin rue Harenheyde), un au coin de la chaussée de Buda et de la rue du Dobbelenberg et un à l'angle de la digue du Canal et de la chaussée de Buda (près du pont du même nom).
Les autres établissements ont soit été démoli comme celui qui se trouvait à l'angle de la rue de Verdun et de la rue de la Paroisse (emplacement à présent occupé par un canisite) ou réhabilités en habitations et aucun signe ne laisse deviner leur activité passée:
Un acteur incontournable à Haren, le grossiste en bières Van Bever:
Ce lundi 26 janvier débute une nouvelle phase des travaux de rénovation de la rue de Verdun. C'est la partie comprise entre la rue du Biplan et le Houtweg qui est cette fois concernée. Le trafic en direction de la ville sera par conséquent reporté vers la chaussée de Haecht.
Il en sera évidemment de même pour le bus 64 en direction de la porte de Namur qui sera dévié entre les arrêts Cortenbach et Vandenhoven. En conséquence, les arrêts Haren-Sud et Biplan en direction de la ville ne seront pas desservis. L'arrêt Cortenbach sera quand à lui déplacé au début de la rue Harenheyde.
La durée exacte des travaux étant tributaire des conditions météorologiques, celle-ci ne peut être précisée.
Brussels Airport a publié ses chiffres pour l'année 2014. Le nombre de passagers a progressé de 14,6 % alors que dans le même temps, le nombre de mouvements d'avions a diminué. Comment expliquer cela?
En fait, les compagnies utilisent des avions de plus grande capacité et leur taux de remplissage est amélioré.
Les harenois ont-ils été moins incommodés? Au contraire, quand on les interroge, ils semblent avoir été davantage dérangés par les nuisances aériennes.
Comment expliquer cela? Qui dit avions plus gros, dit avions plus bruyants et s'ils sont davantage remplis, ils sont plus lourds et mettent donc plus de temps à prendre de l'altitude. De plus, en 2014, la piste 25 droite, celle qui "arrose" directement Haren a été utilisée de manière plus intensive. D'où le ressenti des harenois!
Trouver des sacs poubelle blancs d'une capacité de 80 litres dans le commerce, est pratiquement impossible en ce début du mois de janvier. Et pour cause, le précédent gouvernement bruxellois avait décidé d'en arrêter la production. Si cette mesure ne se fait sentir que maintenant, c'est qu'il fallait épuiser les stocks existants. Cette décision avait été prise parce que ces sacs avaient été jugé trop fragiles et se déchiraient facilement salissant ainsi l'espace public et en outre, certains avaient tendance à trop les charger (un règlement limite le poids des sacs à 15 kg, pour ménager la santé des éboueurs). Seuls les sacs d'une capacité de 40 et de 60 litres sont encore en production.
Le précédent ministre avait même envisagé de revenir aux poubelles "en dur". Mais cette option devait faire l'objet d'études car mal adapté à certains types de logements.
Mais pour revenir à nos sacs de 80 litres, on apprend aujourd'hui que la secrétaire d'Etat, Fadila Laanan revenait sur la décision du gouvernement précédent en relançant la production de ces sacs. Ce n'est pas la première fois qu'elle se distingue dans cette matière, elle avait il y a peu envisagé de ne plus faire qu'une seule collecte par semaine.
Enfin, tout ça n'est pas perdu pour tout le monde: