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L'équipe de HAREN tv a le plaisir de vous présenter les premières planches d'une BD qui paraîtra prochainement. Cette chronique d'un petit village, Haren, décrira les péripéties de l'entité au travers de deux visions opposées: celle des habitants et celle des politiciens.
Pour les harenois, Haren est un village et ils souhaitent garder ce particularisme; tandis que Bruxelles et la région considèrent l'entité comme un simple quartier.
Les habitants en seront aussi les protagonises de cette BD, car en dehors de quelques "figurants" (et des politiciens), tous les personnages sont des harenois! Vous vous reconnaîtrez peut-être au détour d'une planche. Les décors font aussi partie de notre village.
Un petit clin d'oeil aux politiciens qui seront parfois malmenés, mais après tout, quand on choisi cette voie il faut s'y attendre...
Les Brektabeen (littéralement les "jambes cassées"), sont un groupe de harenois qui s'occupe de la conservation et de la promotion des sentiers de Haren. Pour se faire, ils organisent très régulièrement des balades guidées mais aussi des actions d'entretien.
Comme ils l'ont déjà fait pour d'autres sentiers, ils se proposent de nommer le passage sous la ligne 26 sur la rue du Keelbeek (qui malgré son nom est bien un sentier). Une plaque y sera d'ailleurs apposée.
Ce passage est hautement symbolique: non seulement il est sur le sentier qui relie Haren à Diegem et qui est menacé par le projet de méga-prison, mais il marque aussi la limite entre notre village et la zone (encore verte) ou devrait s'installer ce pénitencier.
Si vous avez des idées pour baptiser ce passage, vous pouvez les envoyer à sentiers@haren.tv ou les mettre sur les commentaires de ce blog.
L'an dernier, l'été pourri avait freiné sa prolifération. Cette année, le printemps plus que mitigé aurait pu laisser croire que le scénario serait semblable, mais l'épisode caniculaire de ces dernières semaines a été favorable à son dévelopement.
Chaque année, elle fait plus de vingt victimes en Belgique, et cette tueuse en série agit surtout à la fin de l'été, particulièrement lors des barbecues. Vous la côtoyez régulièrement, et pourtant vous ne lui prêtez plus guère attention.
Elle, c'est la guêpe (mais plus largement les membres de la famille des Vespidae, dont les frelons). Comment cet insecte d'apparence insignifiante peut faire plus de victimes en un an en Belgique que les requins dans le Monde entier sur la même période?
La mortalité due aux piqûres de guêpes a trois principales causes:
La première concerne les personnes présentant une sensiblité allergique à leur venin. Après avoir eu une première réaction violente, une seule piqûre peut leur être fatale. Il est conseillé à ces personnes d'avoir en permanence sur elles des seringues d'épinéphrine et de porter un signe signalant leur allergie (bracelet ou carte type Medicalert).
La deuxième cause est provoquée par des piqûres multiples. Une trentaine de piqures de guêpes peuvent tuer un adulte (moins pour les enfants) contre 200 à 300 piqûres d'abeilles. Ces "attaques" de masse interviennent souvent lors de la destruction accidentelle ou volontaire de leur nid. L'intervention des services médicaux d'urgence est bien sur indispensable, mais les premiers gestes de secourisme peuvent contribuer à maintenir la victime en les attendant.
La troisième cause est la piqûre au niveau de la gorge. Si les guêpes adultes se nourrissent de fruits, elles recherchent des protéïnes animales pour leurs larves. Et nos barbecues leur offrent à la fois le sucré (nos boissons) et un buffet de viande. Il est malheureusement fréquent, qu'une personne avale un insecte posé sur son morceau de viande ou dans sa canette de soda. La guêpe se sentant agressée, piquera, et un oedème se développera obstruant les voies respiratoire. Faute d'action rapide, comme une trachéotomie, la victime décède par étouffement!
Le développement des colonies de guêpes est tributaire des conditions météo, et connaît son apogée dans la deuxième quinzaine du mois d'août.
Les pompiers sont habilités à détruire les nids de guêpes, toutefois, en région bruxelloise, ce type d'intervention n'est gratuite que dans certains cas (hopital, école, maison de retraite...) Les hommes du feu vous factureront cette intervention 125 € contre 65 à 80 € si vous faites appel à une firme privée pour la même efficacité. La différence est justifiée par le SIAMU par la volonté de dissuader les gens de faire appel aux pompiers pour des tâches que remplissent parfaitement d'autres, et leur permettre ainsi de se concentrer sur des interventions qu'eux seuls peuvent réaliser.
Quand Steven Spielberg réalisera-t-il "Les Dards du Barbecue"?
L’association BRAVVO, créée en janvier 2004 par le Collège de la Ville de Bruxelles, centralise la politique de prévention mise en place par la Ville. Bruxelles Avance - Brussel Vooruit regroupe en son sein les projets de prévention de l’insécurité et de l’exclusion sociale subsidiés par plusieurs programmes : le Plan Stratégique de Sécurité et de Prévention (qui succède au Contrat de sécurité de prévention), le Plan de Proximité et de Prévention régional, les FSE, le Programme Politique des Grandes Villes et pour partie les Contrats de Quartier.
L'asbl BRAVVO recherche, dans le cadre du contrat de quartier Masui, un agent de développement interculturel (H/F). Les inscriptions se clôturent le 25 août 2013.
Si le destin des sacs blancs est d'être incinérés, c'est l'enterrement qui est privilégié pour le verre. La comparaison avec des funérailles s'arrête là, car le verre connaîtra une nouvelle vie au travers du recyclage.
Plus sérieusement, ce 5 août ont été installées les premières bulles à verre enterrées rue de la Paroisse à Haren.
Ce système présente par rapport aux bulles classiques plusieurs avantages: moins de nuisances sonores pour les riverains, une meilleures accessibilité pour les personnes à mobilité réduite, une meilleure intégration esthétique dans le paysage et il semblerait qu'il y ait aussi moins de dépots clandestins à proximité.
Progressivement, là ou c'est possible, les bulles enterrées vont remplacer les anciens containers. Le sous-sol du site choisi ne peut comporter d'impétrants (conduites d'eau, de gaz, d'égouts ou cable électriques ou de téléphonie...). Si la gestion de la collecte du verre dépend de l'agence régionnale Bruxelles-Propreté, le choix des emplacements reste une prérogative communale.