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Ce 10 août, nous dénoncions sur ce blog un dépot de déchets de construction laissés depuis des semaines par un entrepreneur peu scrupuleux (pour relire l'article, cliquez ici). Nous nous demandions pourquoi les services compétents n'avaient pas encore réagi. Le journal "La Capitale" a relayé dès le lundi suivant notre article et le lendemain, nous apprenions que les services de la Ville de Bruxelles avait mis en demeure l'entrepreneur indélicat d'évacuer ses déchets pour le 17 août, faute de quoi une taxe communale lui serait imputée (100 € par mètre cube) ainsi qu'une amende administrative (620 €).
Et, ce vendredi, les déchets ont été évacués. Enfin pas encore tout à fait, puisqu'ils ont été placé dans un container, qui restera en place tout le week-end. Et, fidèle à son habitude, cet entrepreneur a fait placer le container sur le trottoir, vis à vis d'un passage clouté, obligeant les piétons à marcher sur la rue pour gagner l'arrêt de bus voisin (et ce sans la signalisation réglementaire!).
Si vous constatez des dépots clandestins, ou des problèmes de propreté publique, n'hésitez pas à appeler le numéro vert de la ville de Bruxelles: 0800 90 107 ou contactez-nous à redaction@haren.tv
Toc, toc, toc... si vous entendez ceci, ne croyez pas nécessairement que quelqu'un vous demande la permission d'entrer... C'est peut-être un pic qui cherche à faire sortir des larves et insectes des arbres de votre jardin.
Le pic épeiche (Dendrocopos Major) ressemble aux autres pics noirs tachetés de blanc (pic épeichette, pic mar, pic à dos blanc, etc.), mais s'en distingue par le dos bien plus sombre, le bas-ventre rouge vif et, pour ce qui concerne le mâle, une tache rouge sur la nuque. Seules deux bandes blanches bien visibles de chaque côté du dos sont présentes. La femelle est identique au mâle, à part sa nuque qui est noire. Le jeune pic épeiche a une large calotte rouge et le bas-ventre dans les tons rosés, plus clair que celui de l'adulte. Pour se maintenir à la verticale des branches qu'il parcourt, il utilise comme support des plumes spéciales de sa queue, les rectrices, qui sont rigidifiées.
La langue des pics épeiches est effilée, très longue, visqueuse et pourvue de nombreux corpuscules, avec une petite extrémité plate et pointue qui est ornée de petits crochets. L'oiseau peut la projeter loin en avant. Leurs tarses sont courts et leurs doigts sont pourvus d'ongles solides et recourbés. Deux doigts sont à l'avant et deux à l'arrière, ce qui leur permet de monter facilement aux arbres tout en prenant appuis sur les plumes de leur queue, très robustes.
Le pic épeiche se nourrit d'insectes, de larves sous l'écorce ou dans les bois, mais aussi de graines ligneuses et de baies. Vient parfois aux mangeoires. Par temps de neige et de gel persistants, il vient se nourrir aux boules de graines et graisse du commerce suspendues hors de l'atteinte des chats. On peut le voir aussi au mois de mai et au mois de juin, venir se nourrir aux boules de graisses du commerce, mais aussi à des plaques de graisses que l'on peut fabriquer soi-même. Recette: dans une barquette de 500 ml, résistant à la chaleur, une couche de graines de tournesol, une couche de cacahuètes décortiquées, couler 1/4 de bloc de blanc de bœuf (travailler par 4 barquettes). Une fois que la graisse commence à durcir, saupoudrer de graines de tournesol. Laisser solidifier, garder au congélateur. On décongèlera la veille de l'utilisation. Cette plaque est suspendue dans un portoir grillagé. Au printemps et en été, on a peu de mésanges ou de pinsons, mais viennent les verdiers, les sitelles, les gros becs, les pics épeiche. La graisse de bœuf ne rend pas l'oiseau obèse comme l'huile de palme. L'utilisation uniquement de cacahuètes et de graines de tournesol, empêche que l'on soit envahi par toutes sortes de plantes (blé, millet, ....).
Il habite préférentiellement dans les boisements âgés, bocages, parcs, parfois jardins avec de vieux arbres, les haies d'arbres et les vergers.
Le pic épeiche niche dans des cavités creusées par les deux adultes, en mars et avril. La femelle dépose 4 à 7 œufs blancs, entre la mi-mai et début juin. L'incubation dure environ 16 jours, assurée par la femelle dans la journée, et par le mâle la nuit. Les poussins sont nidicoles et sont nourris par les deux parents. Ils quittent le nid à l'âge de 18 à 21 jours.
Initiallement prévue le 7 juillet, la descente de la Lesse organisée par le Old Time Café est reportée au premier septembre. On espère que la météo sera plus favorable à cette date.
Au programme, petit déjeuner au Old Time, puis départ en car (entre 7 et 8 heures) vers Houyet ou vous attendrons des Kayaks biplaces (avec dossiers). descente vers Anseremme (21 kilomètres) ou le car vous récupérera pour vous ramener au Old Time ou vous attendra un barbecue.
P.A.F.: 40.00€ par personne. Ce prix comprend le petit-déjeuner, l'aller-retour en car, la location des kayaks et le barbecue;
Ne sont pas compris dans le prix: le pic-nic de midi et les boissons. (Un conteneur étanche pour les effets personnels peut être disponnible au prix de 2 €)
Un nombre minimum de participants étant requis, il est demandé de s'inscrire pour le 24 août au Old Time Café, rue de Verdun, 392
Pour ceux qui voudraient participer au barbecue du soir sans prendre part à l'excursion, une P.A.F.: de 8.00€ sera demandée.
A la limite de Haren et d'Evere, existe un espace réservé à la culture biologique. Ce terrain est géré par la CEBE (Commission de l'Environement de Bruxelles et des Environs).
Créé en 1990, il est cultivé par des "colons" qui le gèrent en espace naturel ou la culture est bienvenue. Les colons consomment évidemment leur production.
Le recours aux moyens chimiques est bien entendu prohibé dans cet espace qui fait la part belle aux méthodes traditionnelles. Les fertilisants utilisés sont en fait du compost produit sur place. Autour de ces parcelles, les gestionnaires du site ont estimé qu'il était important de laisser la nature se dévellopper.
Pour la prochaine visite, Giancarlo et Elisabeth vous proposent de vous initier à la photographie au jardin naturel. Rien de tel que le potager biologique où foisonnent plantes et insectes pour faire ses premières armes de photographe amateur ou échanger des trucs et astuces entre passionnés. N’oubliez pas votre appareil !
Ce potager biologique est situé entre Haren et Evere, au carrefour du Houtweg et de la rue de Verdun.
La visite est organisée ce samedi 18 août à 14 heures
Il y a quelques jour, une conseillère communale, candidate aux prochaines élections, repeignait face à la presse un emplacement de parking pour handicapé chaussée de Haacht. Peu après, la Ville de Bruxelles annonçait que 300 de ces emplacements seraient restaurés dans le courant du mois d'août.
C'était l'occasion pour la Ville de rappeler que le nombre de ces emplacements était passé de 300 à 800 en l'espace de huit ans (il y en a 11 à Haren). Les plus anciens avaient bien besoin d'un rafraîchissement. Nombre d'automobilistes valides peu scrupuleux prétextaient que les marques au sol étaient tellement effacés, que l'emplacement n'était plus visible. Pourtant ils sont aussi marqués par un panneau, qui, pour le code de la route, prévaut sur les marquages au sol. Mais peut-être que ces conducteurs inciviques considèrent-ils la paresse qui les empèchent de marcher quelques mètres supplémentaires en se garant un peu plus loin, comme un handicap!?
Quoi qu'il en soit, la Ville semble tenir ses promesses, ce lundi, plusieurs emplacements à Haren ont reçu un coup de peinture fraîche.