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La collecte de ces déchets aura lieu le mardi 12 novembre de 16 heures à 16 heures 45 sur le parvis de l'église rue Sainte-Elisabeth
Récolte des encombrants:
La Ville de Bruxelles organise une récolte des encombrants à Haren le samedi 2 novembre de 8 à 18 heures au carrefour entre la rue Twyeninck et la rue du Pré aux Oies
Voici une nouvelle enquête publique en cours à Haren (cliquez sur l'avis pour l'agrandir):
Permis d'urbanisme. L'enquête publique se déroule du 25/10/2013 au 08/11/2013:
Houtweg,23
Il s'agit d'une demande de la Commission Européenne pour aménager une garderie aérée pour 360 enfants avec des modules préfabriqués pour les vacances de Pâques et d'été 2014-2015
Un passage pour créer des liens, c'est ainsi qu'a été présenté le passage Joe Van Holsbeeck lors de son inauguration ce 23 octobre.
Les harenois étaient venus en nombre pour assister à l'événement. Mais c'est vrai que c'est eux, par l'intermédiaire du Comité qui ont proposé de nommer une nouvelle artère de Haren du nom de ce jeune victime d'une absurde violence.
Les parents de Joe ainsi que sa grand-mère étaient présents lors de la cérémonie mais ont préféré se montrer discrets. Si ils sont sensibles à l'hommage rendu à leur fils, cela réveille aussi en eux de douloureux souvenirs. Comme depuis le début, ils ont gardé une attitude digne et sans haine. Et conformément à leur souhait, la voirie choisie n'est pas une voie principale, mais une liaison avec une valeur symbolique.
En dehors des traditionnels discours des politiques, on retiendra surtout l'intervention du procureur Eric Janssens qui fut en charge du dossier à l'époque. Il a souligné que comme l'avaient dit les parents de Joe, il ne fallait pas lier jeunesse et violence. Il a aussi souligné l'attitude positive que les amis de Joe avaient montrés après ce triste événement.
Ce sont des enfants qui ont dévoilé la plaque de rue portant le nom de Joe. Bientôt, une plaque reprenant des messages positifs viendra la complèter.
Aussitôt après l'inauguration, un bouquet est venu fleurir le pied de la plaque.
La Ville de Bruxelles vient de dévoiler son nouveau plan logement. Si sur le fond, c'est-à-dire présenter une offre de logements répondant à la demande croissante à Bruxelles notamment pour les bas et moyens revenus, l'intention est louable, la forme est pour le moins discutable.
Dans le cadre de Haren, 107 appartements sont prévus. Et malgré les déclarations des élus qui prétendent que ces logements doivent s’intégrer dans le tissu existant, cela augure de leur part une parfaite méconnaissance du terrain. En effet, Haren est constitué majoritairement de maisons unifamiliales et ce qu’ils se proposent de bâtir sont des immeubles à logements multiples comme ils l’ont déjà fait à Harenberg (et ce n’est pas fini).
On peut aussi douter de leur souci d’intégration dans les quartiers quand on voit ce qu’ils ont déjà commis. Je ne prendrais comme exemple que ce citoyen habitant Harenberg qui il y a quelques temps avait introduit une demande de permis d’urbanisme pour repeindre sa façade en blanc. Ce permis lui avait été refusé sous prétexte que cela portait atteinte à l’unité du quartier. Quelques mois plus tard, la Ville de Bruxelles faisait construire dans la même rue des cubes de béton peints en blanc… Manifestement les règles d’urbanisme ne s’appliquent pas à tous de manière équitable…
Mais ce qui est très inquiétant, c’est le manque de vision globale de ce nouveau plan logement. En effet, permettre à de nouveaux habitants de se loger, c’est très bien, mais encore faut-il que le reste suive : or aucune infrastructure collective (école, administration, loisir n’est prévue pour accompagner ces nouveaux logements. Pour vous donner un exemple, les écoles de Haren ont du refuser des inscriptions cette année faute de place. Qu’en sera-t-il quand ilaura de nouveaux habitants.Des petits bouts doivent donc aller (en bus ou en voiture) à plusieurs kilomètres de leur domicile pour avoir l’enseignement auquel ils ont droit. Et la Ville n’a pas non plus négocié avec les acteurs des transports en commun pour adapter l’offre ! Rien non plus pour favoriser le retour des commerces de proximité, au contraire, la politique de la Ville (et de la Région) est de favoriser la concentration des commerces dans de grands centres commerciaux.
Va-t-on vers un modèle «à la française » ou toutes les fonctions sont séparées : d’une part, le logement, d’autre le commerce et enfin les zones d’activité ?
Pourtant au départ, le terme « CITE » désignait un lieu qui présentait une mixité de fontion : logement, loisirs, enseignement, services, commerce, artisanat… Mais les français ont dévoyé le mot et il désigneprésent de véritables ghettos qui sont synonymes d’exclusion sociale mais aussi des zone de non-droit dans lesquelles la police ne se risque que rarement.
Est-ce cela que nous prépare la Ville mais aussi la région (qui a un projet de 78 appartements) et quelques promoteurs ?
Et pourtant, il y a des logements qu'ils pourraient rénover avant d'empiéter sur l'espace des citoyens...
Voici une lettre ouverte adressée à: Infrabel, Monsieur El Ktibi, échevin de l'Environnement de la Ville de Bruxelles, Madame Lalieux, échevine de la propreté de la Ville de Bruxelles,
Une pollution volontaire ou non a eu lieu sur la bande herbeuse de la rue du Pré aux Oies de part et d'autre de la barrière bleue installée par Infrabel le long des ateliers des voies. L'ensemble des plantes et muriers ont été grillés vers la fin de l'été, voyez sur les photos ou l'on voit que hors zone de la barrière, les herbes sont restées vertes. Et ce n'est même pas pour lutter contre les berces du Caucase que cette pollution a eu lieu car elles fleurissent à 2 ou 3 mètres de la barrière, mais elles n'offrent pas le beau spectacle, habituel en cette saison ,de leur floraison. De nombreux promeneurs empruntent cette zone herbeuse et les enfants de nos maisons y jouent régulièrement... J'ai donc été atterré quand j'ai découvert que ce n'était pas la rigueur de l'automne qui jaunissait les plantes.
Je vous prie de nous fournir au plus vite une explication rassurante et de prendre les mesures pour que cela ne se reproduise plus. Cette pollution n'a de plus aucun sens vu qu'un fauchage à eu lieu quelques temps après. C'est donc un mystère que j'invite Infrabel à éclaircir avec l'aide de la ville.
Je vous remercie pour votre réponse rapide.
Laurent Moulin Habitant du 192 rue du pré aux Oies