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Pour quelques semaines encore cette saison, il est possible de jouer au badminton chaque samedi de 13 heures 30 à 14 heures 30 au centre sportif de Haren.
Les automobilistes sont de plus en plus nombreux à équiper leur vehicule d'une dash cam. Si la fonction première de cet accessoire est de servir de preuve en cas d'accidents, il n'est pas rare qu'elles enregistrent des comportements dangereux.
Mais une de ces caméra embarquée a enregistré un autre fait douteux. Ainsi, un mardi matin, elle a surpris rue de l'Aerodrome, des éboueurs qui chargeaient les sacs blancs et les sacs bleus dans la même benne à ordures au mépris du tri sélectif auquel sont contraints les citoyens sous peine d'amende administrative.
Il semble qu'un manque de matériel et/ou de personnel pose sporadiquement des problèmes d'organisation à l'agence Bruxelles-Proprete. Cela ne concerne pas tous les quartiers de Haren car ailleurs, comme à la rue de Verdun, la collecte de fait correctement avec deux bennes distinctes comme j'ai pu le vérifier par moi-même.
Reste à savoir si Bruxelles-Proprete s'acquittera d'une amende pour non-tri des déchets !?
Bruxelles se voudrait une capitale verte, et il est vrai qu'elle a un passé d'agriculture urbaine. Las, malgré de belles paroles, les politiciens agissent à l'encontre de la ruralité urbaine.
Des chercheurs de l'ULB et de la faculté Saint-Louis ont mené une étude sérieuse sur la place de l'agriculture dans notre milieu urbain. Cela a débouché sur un livre dont deux chapitres parlent plus précisément de Haren.
Voici comment ils présentent leur ouvrage:
" Depuis quelques années, on voit surgir dans les villes des expériences qui renouvellent sur des modes collectifs la tradition des anciens potagers urbains. En se glissant dans les interstices de la ville, sur des terrains oubliés, dans l’angle mort de barres d’immeubles ou sur les toits des bâtiments, elles interrompent « le long orphelinat » des bâtiments sans âme dont la fureur immobilière a le secret. À partir de Bruxelles, où existait une tradition de maraîchage spécialisé et de jardins ouvriers, l’ouvrage retrace l’histoire de la ville nourricière et des combats qu’elle suppose, et témoigne des expériences nouvelles, quelquefois victorieuses du béton, le temps de reprendre son souffle et sa bêche."
Ce livre sera disponible dans toutes les bonnes librairies dés le 23 avril au prix de 25 €
Yvan Mayeur sort un livre pour "défendre son honneur". Il se dit victime d'un acharnement médiatique et pour lui il n'y a pas de scandale Samu Social et lorsqu'on veut des professionnels, on les paie! Il faudra qu'il m'explique comment on peut être professionnel en exerçant à la fois les fonctions de bourgmestre, de président de Vivaqua sans oublier les nombreux autres mandats. Il prétend aussi n'avoir touché que 100000 euros brut en vingt ans soit 5000 euros brut par an. Là, il manipule la vérité car si le Samu Social existe effectivement depuis 20 ans, cette somme il l'a perçue sur les trois dernières années en contradiction avec les statuts. Et que dire aux bénévoles du Samu Social qui sont sur le terrain?