Ce vendredi 22 mars, c'est la journée mondiale de l'eau. Si dans nos régions cela nous semble naturel de bénéficier de l'eau courante, il ne faut pas oublier que cela reste un bien précieux.

En moyenne, un tiers de notre consommation d’eau est consacré à l’hygiène corporelle. Prendre une douche consomme de 60 à 75 litres d’eau ; et si plusieurs membres de la famille se douchent et que certains s’y attardent, la quantité d’eau utilisée peut vite grimper.

Au même titre que l’énergie, l’eau potable doit toutefois, vous en êtes certainement convaincus, être utilisée de manière rationnelle. Certains gestes et comportements permettent d’en réduire la consommation, mais savez-vous que différents dispositifs économiseurs d’eau existent.

L’utilisation d’un pommeau de douche économique (aussi appelé « douchette économique ») permet par exemple de consommer de 2 à 3 fois moins d’eau qu’avec une douchette classique. Grâce à son système d’ajonction d’air, une douchette économique n’utilisera que 6 litres par minute passée sous la douche, au lieu de 15 à 20 litres habituellement, tout en gardant le même niveau de confort qu’avec une douchette classique.

 La cellule Eco-conseil de la Ville de Bruxelles,  vous propose un concours pour gagner une douchette économique Crometta 85 Green Ecosmart de la marque Hansgrohe. Cette douchette s’adapte sur tous les flexibles et convient en outre pour un chauffe-eau instantané.

100 pommeaux de douche économiques sont ainsi mis en jeu ! Pour en gagner un, vous devez être domicilié sur le territoire de la Ville (1000, 1020, 1120, 1130), répondre à la question reprise dans le talon réponse, compléter vos coordonnées et renvoyer le tout par mail : ecoconseil@brucity.be ou par courrier : Cellule eco-conseil, 8 rue du Chêne, 1000 Bruxelles

La date limite de participation est fixée au samedi 20 avril 2013, le tirage au sort se fera la semaine suivante.

Chaque lauréat sera averti par courrier, courriel ou téléphone.

Comme chaque année, Brussels Airport profite du mois d'août pour effectuer des travaux d'entretien aux pistes. Cette année, ce sera la piste 25 droite/07 gauche qui sera fermée. Cette piste est celle qui implique le plus de survols de Haren.

Les travaux qui seront effectués sont la rénovation du système d'évacuation des eaux, la rénovation complète d'une des principales voies d'accès ainsi que la rénovation totale du balisage, y inclus le remplacement de l’éclairage halogène par un éclairage LED plus écologique.

Ces travaux nécessiteront la mise hors service de cette piste pendant 14 jours, après quoi elle sera mise en service sur une longueur réduite pendant une période de 9 jours (seuls les avions les plus légers pourront alors l'emprunter) avant de reprendre un service normal.

Quelques avions décollant d'une des autres pistes pourront au gré des routes empruntées, survoler néanmoins Haren, mais beaucoup moins qu'en temps normal.

D'après Brussels Airport, le choix de cette période s'impose car, en dehors des mois d’hiver, août compte le moins de mouvement par jour. De plus, août offre un grand nombre d’heures de clarté et est statistiquement un des mois les plus secs de l’année. Ceci permet de travailler un plus grand nombre d’heures par jour et de terminer les travaux dans un délai plus court.

Les travaux commenceront le 1er août et se termineront vers le 24 août. Cependant, en cours de chantier, des événements imprévus peuvent entrainer des travaux supplémentaires. C’est pourquoi il n’est pas possible d’en prévoir à l’avance la durée avec exactitude.

Afin de réduire le délai d’exécution, l’entrepreneur travaillera de très tôt le matin à très tard le soir, y compris pendant les weekends. Certains travaux peuvent même être effectués la nuit.

Quelques notes de musique entendues ce dimanche, et voici que l'eau me vient à la bouche! Que me vaut ce "réflexe de Pavlov"?

La musique est celle de la camionnette du marchand de glaces. Il avait naturellement été absent pendant tout l'hiver. Mais le voici enfin de retour, annonçant le retour du printemps de manière plus sure que les hirondelles (même si on a encore eu de la neige début de cette semaine). 

Pour moi, le printemps ne sera pas symbolisé par les hirondelles, mais par une "dame blanche", que je m'empresse de savourer. Désolé de ne pouvoir vous la faire partager!..

Il y a quelques semaines, ce blog attirait votre attention sur le fait qu'il n'y avait pas de station Villo à Haren. L'information avait même été relayée dans les pages de "La Capitale".

Des citoyens se sont émus de cette situation et ont décidé d'interpeller directement le secrétaire d'état à la région bruxelloise chargé de la mobilité Bruno De Lille à ce propos.

Pour eux, Villo serait une bonne solution pour complèter les transports publics qui ne favorisent guère notre village. Ce serait utile non seulement pour les harenois, mais aussi pour les nombreux navetteurs qui chaque jour débarquent des trains pour aller travailler dans une des nombreuses entreprises situées autour de la chaussée de Haecht.

Dès ce lundi 18 mars, à l'initiative d'une harenoise, vous pourrez signer une pétition qui sera disponible à la pharmacie et à l'épicerie de la rue de Verdun.

Vous pouvez aussi donner votre avis au travers des commentaires de ce blog, sur notre répondeur (0489 403 442) ou à villo@haren.tv

téléchargez la pétition en cliquant ici

Ce mercredi 13 mars quelques riverains  rencontraient un responsable de la gestion du Parc "Kasteelhof",  notant  attentivement les remarques émises par  les personnes  concernées.

Les plaintes portaient essentiellement sur le type de clôture séparant le parc des jardins des maisons du Beemdgracht et de la rue Twyeninck.  Et il est vrai tout d’abord que les occupants du parc ont une vue plongeante non seulement sur tous les jardins, mais même sur les rez-de-chaussée et premiers étages des maisons en question.

Qui plus est , la hauteur des clôtures est,  par endroits, vraiment minime ce qui fait en sorte que certains promeneurs  les enjambent,  ou passent carrément  par en  dessous ,car à certains  endroits le ravinement des sols a fait en sorte qu’un espace est devenu suffisamment grand  sous la clôture pour que  l’on puisse s’introduire dans ces lieux privatifs avec tout ce que cela suppose  comme conséquence pour ces riverains qui se sentent insécurisés dans leur espace de vie privée et pour cause !.

Bien entendu, s’y exprime  un véritable « sentiment » d’insécurité, qu’il convient d’entendre… !

Des craintes qui  risquent  bien d’être entretenues  une fois la prison construite et occupée par ses internés, et qui, en ce qui concerne l’I.P.P.J.  présente,  nous amènera  certainement une multiplication conséquente de bandes qui  circuleront  alors dans notre espace de vie et plus vraisemblablement vers ces zones vertes.

Une des solutions proposées par les personnes concernées  aux services compétents de la Ville, consisterait à couvrir les clôtures actuelles par un système mécanique de masquage genre toiles bordant les cours de tennis ou encore par des  lamelles plastiques à insérer  au sein des grilles.

Mais là, je doute que ce genre « d’emplâtre » fasse long feu. L’érosion mécanique ajoutée à celle d’actes de vandalisme ordinaires ne manquera pas de les mettre à mal en peu de temps.

Ce petit groupe de riverains  fit donc le tour du parc en mettant le doigt sur leurs inquiétudes.
Voyons ce que la Ville et nos responsables des espaces verts nous offriront pour soulager la crainte de ces riverains en quête de tranquillité …

D. G.

0489 403 442

photos: Francis ADRIAENS