Ils sont nombreux les propriétaires qui ignorent, volontairement ou non, qu’il n’est pas permis de faire tout ce qu’ils voudraient dans leur bien.

Il en va ainsi avec les extensions, souvent réalisées en arrière de bâtiment comme les terrasses, veranda ou encore la transformation des greniers ou des caves en pièces d‘habitation. Tout cela doit passer par une procédure de permis d’urbanisme ce qui est rarement le cas.

Il en va de même pour le changement d’affectation d’un bâtiment comme transformer un logement en commerce ou en atelier (dans ce dernier cas un permis d’environnement est en plus requis)
Que risque le propriétaire coupable? Dans le meilleur des cas, une amende administrative et l’obligation de régulariser la situation par une procédure comportant une enquête publique. Dans le pire des cas, un tribunal pourra être saisi et ordonner la « déconstruction » des parties litigieuses.
Dans tous les cas, l’administration fiscale s’y intéressera pour recaculer le revenu cadastral et éventuellement réclamer des arriérés majorés d’intérêts.

Et si vous vous dites que de toute façon, ils ne peuvent voir ce qui a été réalisé à l’arrière des bâtiments, sachez que l’administration envisage de faire appel aux prises de vue  aériennes pour les comparer avec les données dont elle dispose (elle a déjà eu recours à cette méthode pour faire un bilan de l‘isolation des bâtimentsà. A bon entendeur…

En dehors de ces « gros » travaux, il y a des choses pour lesquelles on ne penses pas demander un permis d’urbanisme, il en va ainsi si vous voulez repeindre votre façade dans une couleur différente de celle d’origine ou si vous souhaitez remplacer vos chassis dans un autre matériaux (par ex. remplacer des chassis en bois par des chassis en PVC). Ce qui est encore moins connu, c’est que lesz abris de jardin dont la surface au sol excède 9 mètres carrés et/ou la hauteur dépasse 3,5 mètres doivent aussi faire l’objet d’une demande  de permis d’urbanisme (j’en connais à Haren…)

Alors, êtes-vous en règle?
Dans tous les cas, ménagez vos voisins!

Y aurait-il eu des irrégularité dans l’attribution de la construction de la prison de Haren au consortium Cafasso? En tout cas certains se posent la question puisque «La Libre » nous révélait cette semaine qu’une information judiciaire avait été ouverte à cet égard.

Si le Parquet de Bruxelles confirme la chose ainsi que le fait que des auditions ont déjà été menées, il est bon de rappeler qu’il ne s’agit pour le moment que d’une information et non d’une instruction. Aucun fait délictueux n’a encore été établi et aucun juge d’instruction n’a été désigné. On ignore aussi si le Parquet agit de sa propre initiative ou si c’est la conséquence d’une plainte d(un candidat évincé ou de quelques collectifs. Quand aux faits, on évoque des faits de corruption présumé lors de la procédure d’attibution du marché ce que ne confirme pas le parquet. Du côté de la Régie des Bâtiments et du consortium Cafasso c’est le mutisme qui est de mise.

Rappelons qu’aucun contrat n’est encore signé entre l’Etat belge et le consortium même si le gouvernement aurait promis de verser des indemnités pour les retards dans l’attibution des permis (le permis d’environnement a été annulé et celui d’urbanisme n’a pas encore été attribué). Cela risue de coûter des dizines de millions d’euros aux contribuables alors que la Justice est déjà exsangue.

Affaire à suivre donc.

Ce vendredi 22 janvier se tiendra au TOOGENBLIK un concert de solidarité aux réfugiés.

Plus de groupes et artistes se produiront au cours de la soirée organisée à l'initiative du Kam Klub. L(entrée est gratuite mais il vous est demandé de faire un don de 10 euros ou plus; l'intégralité des sommes récoltées sera reversée à l'a.s.b.l. "SERVE THE CITY".

• Concert for the Refugees
• le vendredi 22 janvier 2016 à 20 heures
• au TOOGENBLIK
• rue Cortenbach, 11
• 1130 Haren

Foi d’Euphrasie Vandeputte, le Monde est volle de stoemeriike! Il paraît qu’e les sacs en plastiques seront bientôt interdits en Wallonie. Et puis j’entends à la TSF que des auditeurs se demandent comment ils vont faire sans ces sacs en plastique.

Comme s’ils avaient toujours existés. Ouille je vous parle évidemment d’un temps que les moins de cinquante ans ne peuvent pas connaître, mais avant on utilisait des sacs en papier pour les fruits et légumes, la viande était embalée dans du papier paraffiné et j’ai même vu les poissonniers emballer le poisson dans du papier journal, mais cela a été interdit car à l’époque les journaux étaient imprimés avec du plomb et il paraît que c’est toxique. Et puis à la boulangerie, on payait 25 centimes si on demandait d'emballer le pain, alors on rapportait systématiquement le sac qui servait plusieurs fois pour éviter de devoir repayer.

Et puis les emballages en papier nous servaient à allumer nos poëles, je ne vous conseille pas d’essayer avec un sac en plastique.Et puis de toute façon, moi j’ai toujours mon cabas de toile, il ne me quitte jamais!

Ouille, j'allais oublier, si vous voulez mes recettes, vous pouvez les télécharger en cliquant sur le lien suivant:

"A la Table d'Euphrasie" (pdf)

CFCT - Le Retour du Cabas.mp3

Enregistrer

Le retour du temps froid a fait au moins un heureux: Jean-Pierre Van Roy, maître brasseur à la célèbre brasserie Cantillon. En effet, cette brasserie traditionnelle a besoin de fraicheur nocturne pour refroidir ses brassins, et donc cette année elle n'avait encore pu produire avec les tempéraétures quasi estivales que nous avons connues ces dernières semaines. La production va enfin pouvoir reprendre, de quoi réjouir les amateurs de ce breuvage unique à travers le Monde.

Si vous êtes intéressés, un brassin public sera organisé le samedi 5 mars 2016. Au programme:

• de §h30 à 9 heures opérations de brassage
• de 9h à 13 heures filtration et houblonnage
• de 12h à 15 heures cuisson du moût
• vers 15h30 pompage du moût sur la cuve de refroidissement
• de 6h à 12 heures nettoyage des fût à l'ancienne

Le prix d'entrée est fixé à 7 €et comprend la visite et une dégustation au choix. Le café et les croissants vous sont offrtsjusqu'à 8h30

La Brasserie Cantillon est située rue Gheude, 56 à 1070 Bruxelles (à 5 min. de la gare du Midi)