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C'est probablement la découverte de cette saison 2012-2013. Ce duo d'auteurs compositeurs interprètes est originaire de l'état de Washington.
C'est en 2010 qu'ils ont commencé leur collaboration musicale. Leur musique met en évidence des rythmes complexes et mélange plusieurs styles (rock-folk, roots, country...)
Sur scène, Dave McGraw chante et joue de la guitare acoustique et du djembe tandis que Mandy Fer joue de la guitare tant acoustique qu'électrique.
Dave McGraw et Mandy Fer serontle vendredi 12 avril à 21 heures au TOOGENBLIK, rue Cortenbach, 11 P.A.F.: 12 €
Une petite sangsue s’ennuyait dans sa mare. Elle rêvait de devenir une reine adulée par tous. Mais comment y parvenir quand on est un petit être inconnu ?
La solution s’offrit à elle lorsqu’un homme passa près de son point d’eau.
Elle s’y accrocha et l’homme, n’y vit aucun inconvénient, certainement curieux d’en apprendre davantage sur cette petite chose.
L’homme était populaire, et c’est justement ce qui faisait défaut à la sangsue. Si elle voulait être reine, il fallait qu’elle soit connue et reconnue ! Elle pensait y parvenir en s’accrochant à cet humain et en lui suçant le sang. Tel un vampire, elle pensait pouvoir s'approprier les qualités de sa victime en lui suçant le sang. Mais pour lui, que sont quelques gouttes ?..
Il l’emmena partout ou il allait, la présenta à toute ses connaissances, prit sa défense face à ses détracteurs… Elle en fut enchantée.
Et un jour, elle se crut prête à devenir reine ! Elle lui avait suffisamment pompé de sang et pensait être aussi populaire que lui ! Elle était persuadée d’avoir tout ce qu’il faut pour être enfin une reine ! Elle dit alors à l’homme qu’il la dégoûtait et s’en détacha. Il en fut très déçu et continua son chemin.
Elle croyait pouvoir être indépendante, mais elle avait tellement bu de sang, que son abdomen gonflé l’empêchait de faire tout mouvement. Or elle était loin d'un point d'eau, l'humidité étant indispensable pour sa survie, le Soleil ne tarderait pas à la dessécher sans oublier les prédateurs contre lesquels l’homme n’était plus là pour la défendre…
La fin et la morale de cette histoire, je vous les laisse imaginer !
librement inspiré d'Esope et de Jean de la Fontaine
Permis d'urbanisme et permis d'environnement. L'enquête publique se déroule du 12/04/2013 au 26/04/2013:
Chaussée de Haecht, 1265
(Il s'agit de la régularisation d'installations déjà construites à la station Esso, à savoir un parking de 153 places et une installation de lavage automatique et manuelle de véhicules, avec les infrastructures techniques correspondantes)
A travers les yeux d'un harenois, voici une petite balade bucolique dans notre village:
"Débutons notre promenade par le centre de Haren, à savoir son église Sainte Elisabeth. Bien trop souvent fermée et pour cause, préservation de leur patrimoine, sa façade est, à y mieux regarder, à la fois rustique et de belle facture architecturale. Le soir les projecteurs au sodium lui apportent une autre auréole …. Grâce à sa partie moyenâgeuse, dont la tour carrée du 12e siècle est une illustration réussie de la vie médiévale de Haren. Avec son horloge murale dorée qui s’éclate à chaque heure elle donne à ce centre historique un cachet bucolique et villageois..
Descente vers rue de Cortenbach dont le petit parc égaye par la note verte qu’il donne à celle-ci. Les haies et arbustes étant bien taillés il donneun aperçu plus grand de l’endroit.
Direction le Castrum.
Avec un petit arrêt des plus campagnards avant d’aborder ce lieu historique. Une vaste prairie jouxtant le chemin de fer offre ses herbages à des chevaux.On s’y sent bien, on s’y prendrait à respirer l’air ambiant.
Et face à nous s’élève le castrum, cette ancienne ferme fortifiée, monument classé comme il se doit. En ce début de saison, les buissons et taillis séparant le castrum de la rue sont encore assez peu fournis.
La bâtisse puissantereste impressionnante de par l’épaisseur des murs de la tour/porte cochère. Le toit bien réparé et la partie droite du bâtiment est des plus pittoresque.
La balade se poursuit vers la rue Pré aux oies et force est de reconnaître que les installations de la SNCB attirent plus la curiosité que le rejet. On pourrait même presque dire que le viaduc du diabolo est une réussite architecturale et donne à l’horizon ce je ne sais quoi qui attire dans les installations de trains électriques non pas de notre enfance compte tenu de la modicité des réseaux que la plupart d’entre nous avaient à cette époque, mais des installations conséquentes que certains ont créés une fois devenus adultes.
Remontée par le parc de Haren, est une belle création. Avec ses diverses zones distinctes -plaine de jeux avec les vestiges d’un grand château en bois, zone de repos avec un monument glorifiant le chicon, zone de relaxation pour nos amis quadrupèdes, zone de méditation à l’ombre d’un saule pleureur. Même les dealers y trouvent des coins tranquilles….
Pour rejoindre la rue de Verdun on passe par le parc Ter Elst. Cette étroite bande aux allées sinueuses est parsemée d’îlots de tranquillité avec bancs en abondance et haies soigneusement taillées. Très agréable pour y faire un somme ou y dévorer, frites ou quelque ouvrage pour les plus courageux.
Traversée de la plaine de hockey. Erronément attribuée au football. Fonctionnelle à défaut d’être belle. Mais la ligne des cinq arbres altiers qui en masquent le fond atténue cette impression plutôt déprimante.
Le chemin du Keelbeek nous entraîne dans un environnement potager jusqu’au tunnel passant sous le chemin de fer et nous fait atterrir dans le paysage digne des télétubbies du Dobbelenberg. Cette zone encore en friche est le vrai poumon vert de Haren,sauvage, recelant renards, corneilles, hérons, grenouilles endémiques et autres habitants. Cela reste également le dernier endroit où les chiens peuvent encore se défouler en toute liberté. Mais attention : zone d’intérêt certain, mais pas uniquement pour les herboristes, zoologues amateurs et cynophiles, hélas aussi pour les promoteurs et autres destructeurs de l’environnement agréable aux habitants : c’est là que la très contestée mais imposée(par les édiles qui n’y habitent évidemment pas) que s’érigera bientôt ce qui pouvait arriver de pire aux harenois : la construction de la méga prison de Belgique. Les carottes ne sont peut-être pas encore cuites, mais elles arrivent bientôt à ébullition, aussi profitez de ce havre de paix et de nature tant que faire se peut.
Retour par le cimetière de Haren, un havre où les macchabés ont tout intérêt à bien s’accrocher à leurs arpents de terrain, car nul doute que certains esprits promoteurs (de leur propre fortune au détriment de la mort des autres) doivent sûrement avoir des vues sur cet endroit de quiétude, tout comme ils reniflent déjà goulûment le sentier du Keelbeek et ses potagers, plaisir de la vraie vie pour ceux qui les entourent, et incongruité temporelle pour ces rats avides.
Arrivée au point de départ avec un sentiment de satisfaction, de bien être, une balade qui m’occupa près d’une heure et qui me fut dès plus agréable."