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Cela fait de nombreuses années qu'on entend parler d'un nouveau stade à Bruxelles. Il faut dire que le stade Roi Baudouin ne correspond plus aux normes internationales.
D'après Alain Courtois, une décision urgente est à prendre, le dossier doit en tout cas être bouclé avant 2014, date à laquelle l'UEFA désignera les villes hôtes pour l'Euro 2018, et il serait inconcevable que la Capitale de l'Europe n'en fasse pas partie.
Les promoteurs du projet Neo sur le plateau du Heyzel se sont longtemps montrés favorable à la construction d'un nouveau stade ailleurs; et, le site le plus fréquemment cité était Schaerbeek-formation à Haren. Mais pour le nouvel échevin des sports de la Ville de Bruxelles, cette solution est trop coûteuse, notamment à cause de l'indispensable dépollution des sols. De plus, la longueur des procédures rendrait impossible le respect du calendrier. Il plaide donc pour une rénovation du stade Roi Baudouin. Reste à en trouver le financement.
Mais si le stade ne vient pas à Haren, à quoi affecter ces terrains? Et pourquoi pas y mettre la prison? Cela préserverait la zone verte du Keelbeek et poserait moins de problèmes en terme de mobilité puisque l'accès se ferait par l'avenue de Vilvorde.
Il s'est fait attendre, mais l'hiver a enfin recouvert le paysage d'un manteau blanc pour le plus grand bonheur des enfants.
Il faut dire que le mois de décembre et le début du mois de janvier avaient été particulièrement cléments du point de vue des températures. Mais si cela a soulagé notre facture énergétique, cela a aussi des conséquences plus néfastes.
Les cycles de la nature ont été perturbés par les températures trop élevées de la saison. Nombre de bourgeons ont vu le jour avec des semaines d'avance. Avec le retour du gel, ceux-ci seront détruits compromettant entre autre la future récolte de fruit.
La faune est aussi touchée. Ainsi des animaux hibernant, tels que les hérissons se sont réveillé sans pour autant trouver de quoi se nourrir, entamant ainsi leurs réserves qui auraient du leur permettre de passer l'hiver. Beaucoup n'y survivront pas, surtout parmi les juvéniles de l'année.
Mais, en attendant, ne boudons pas notre plaisir devant les magnifiques paysages que nous offre la neige, et je suis certain, qu'à défaut de Yeti, de nombreux bonhommes de neige verront le jour ce mercredi.
Encore un témoignage de vandalisme à Haren, mais ici, d'autres responsables sont aussi à pointer du doigt:
"Samedi 12 janvier, début d’après-midi, mes chiennes lancent l’alerte. Quelque chose d’anormala lieu … Je pique une tête dans le jardin, et remarque,par-dessus la clôture,des inconnus d’une vingtaine d’années qui sortent en courant du jardin voisin etqui, une fois interpellés, prennent la fuite.
Inquiète j’appelle le 101. La police m’identifie tout de suite au téléphoneet me rassure en m’annonçant l’arrivéed’une patrouille. Je vais quand même voir ce qui se passe dans le jardin jouxtant ma maison, craignant le pire… Je découvre la porte arrière de cette maison, abandonnée depuis belle lurette, défoncée… J’y pénètre... Une odeur particulière m’agresse les narines… de la fumée… une maison aussi vieille et dans un tel état d’abandon est un appel aux délits … Au rez-de-chaussée je découvre de la frigolite qui présente des traces de tentatives de mise à feu. Au premier étage un vieux matelas aété jeté sur le sol…
Deux policiers arrivent rapidement sur les lieux. Ils constatent diverses traces de tentatives de mise à feu et feront un rapport à la Ville de Bruxelles afin qu’elle fasse le nécessaire dans les plus brefs délais pour occulter toutes les entrées de ce chancre urbain.
Je regrette de devoir constater, qu’ à Haren, la Ville de Bruxelles est peu soigneuse de son parc immobilier, et peu soucieuse du risque que ces chancres urbains qu’elle nous fait courir ! Ainsi à proximité de chez moi se trouve une maison unifamiliale abandonnée depuis plus de 12 ans. Au fil des années le bien se détériore inexorablement : plafonnages qui tombent, planchers pourris troués de baies de plus en plus grandes, annexes tombant littéralement en ruine, plaque d’égout effondrée ,infiltrations d’eauetc… Le toit est devenu un nichoir géant pour toutes sortes d’oiseaux et chaque printemps annonce le retour au bercail d’une multitude de nids de guêpes. L’effondrement de la plaque d’égout de la cour permet aux rats de prendre l’air et de profiter du jardin tout comme de nos jardins . Régulièrement je fais venir le service de la ville pour faire le « nettoyage de ces intrus « mais seuls les rats sont pris en considération, les guêpes n’étant pas de leur ressort (ni désormais de celui des pompiers dans ces cas là). Et comme si cela ne suffisait pas, depuis quelque temps des individus forcent l’entrée et s’y adonnent à je ne sais quelle activité vraisemblablement répréhensible dont les séquelles sont des traces de mise à feu un peu partout.. Leur passage laisse des traces visibles et inquiétantes.
Certes la Ville a essayé de vendre ce taudis à plusieurs reprises. Par voienotariale avectout ce qu’il faut pour faire fuir lespotentiels candidats acquéreurs : un délirant cahier de charges obligatoires – telle l’obligation de parachever la façade de l’immeuble jusqu’au coin de la rue - à accomplir dans des délais assez brefs et en devant fournir toutes les preuves possibles et imaginables sous menace d’amendes considérables en cas de non-observance des clauses du dit cahier de charges.
Qui plus est, voici deux ans, la maison avait été mise en vente publique avec mise à prix de 80.000 €. D’où quelques possible acquéreurs dans la salle de vente. Et une offre atteignant plus de 100.000 €fut avancée par des gens semblant offrir toutes les garanties nécessaires et au courant du calvaire qui les attendait vu le cahier des charges . Résultat : Refus de vendre des représentants de la Ville qui avaient discrètement convenu d’un prix de retrait de 140.000 € environ. Autrement ditce chancre continue à s’effondrer laissant ainsi non seulement à l’abandon un bien public mais aussi en faisant courir des risques au voisinage et ce du fait de la négligence de l’Urbanisme de la Ville de Bruxelles.
Je n’ignore pas qu’il existe d’autres cas similaires, voire pires. Et je reste convaincue que ce n’est pas dans l’immobilisme que nous verrons l’amélioration notre cadre de vie. Nous sommes au lendemain des élections, des promesses ont été exprimées, elles figurent clairement dans le programme de la nouvelle législature. Reste maintenant à les mettre en œuvre afin de répondre à la pénurie récurrente de logements à Bruxelles."
D. G.
Un autre acte de vandalisme devenu symbolique à Haren:
Les Maisons de Quartier offrent un service de proximité bien utile et pourtant méconnu. Si vous avez des soucis de déplacement ou tout simplement pas de véhicule pour effectuer vos emplettes, vous pouvez bénéficier d'une navette avec un chauffeur aimable et surtout très serviable!!!!
Tout les premiers et derniers jeudi du mois se service est mis en place, la navette comprend 8 places ; rendez-vous est donné les jeudis en questions à la Maison de Quartier pour 10 heures, vous êtes pris en charge en vous conduisant le premier jeudi au Aldi ou le dernier jeudi au Colruyt, vous disposez alors d’une heure pour faire vos courses après quoi le chauffeur vous dépose sans encombre chez vous! Si ce service vous intéresse n'hésitez pas !
Renseignements et prises de rendez-vous à la Maison de Quartier de Haren ou Jocelyne et Bertrand vous accueillerons et réserverons pour vous la navette, ce service ne coûte que 2 euros.
Pour les riverains de la chaussée de Haecht et de la rue Harenheyde, l'année 2013 a commencé sous le signe des chantiers.
Deux gros ouvrages sont en cours: le premier qui a commencé l'an dernier concerne la chaussée de Haecht. Sibega procède au renforcement de la capacité de ses conduites de gaz et de lignes électriques en vue de l'implantation du nouveau siège de l'OTAN; ce chantier devrait se terminer le 15 mars (sauf conditions climatiques défavorables).
Le second est le remplacement d'un pont enjambant les lignes de chemin de fer rue Harenheyde. Ce dernier chantier comporte aussi des modifications concernant les conduites de gaz, lignes électriques. Alors que la circulation était déjà engogée aux heures de pointe, le trafic qui empruntait d'habitude la rue Harenheyde se reporte en grande partie sur la rue de la Paroisse, particulièrement étroite.
Si l'utilité des travaux n'est pas mise en cause, la coordination des chantiers pose questions. Nous nous sommes adressé à une commerçante, bien placée puisque sa taverne est située au carrefour des deux chantiers: "Nous subissons un véritable préjudice, le chantier prend les places de parking, aussi même nos habitués vont voir ailleurs. Nous avons un parking privé réservé à la clientèle, mais celui-ci est accessible par la rue Harenheyde qui est à présent barrée... (durée prévue: trois mois)
Mais ce que je redoute le plus, c'est que lors de leurs travaux, ils percent une canalisation ou coupent les lignes électriques!"
Quelques minutes après cette dernière remarque, l'électricité est coupée! Tout un côté de la chaussée de Haecht est concerné. Inquiétude chez les commerçants pour leurs stocks en frigo ou congélateur, mais finalement le courant est rétabli dans la demi-heure. Mais il est probable que ce genre de mésaventure se répète dans les semaines à venir.
Les riverains de ces chantiers n'ont pas fini d'en voir...