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Nouvel hommage aux victimes du 22 mars sur le parvis de la Bourse. Cette fois c'est une initiative d'institutions culturelles bruxelloises qui ont réuni une chorale de plus de deux cent chanteurs venus de la capitale, de Flandre et de Wallonie. Ils n'ont eu qu'une seule répétition et pourtant le résultat est surprenant.
Découvrez ici quelques extraits de leur prestation:
Foi d’Euphrasie Vandeputte, ils sont zot ces ricains!
L’autre jour j’ai vu une publicité pour un bazaar amerloque qui se fait appeler « Le Roi du steak prémaché » Il disait qu’ils allaient vendre les frites une par une emballées comme des babeluttes. Ouille, ça est surement un truc pour gagner plus d’argent car qui peut manger une seule frite? Pour moi les frites cela se vend dans un cornet bien rempli avec une bonne cloutche de mayonnaise (ou de pickles).
Le petit-fils d’un de mes neveux m’a dit que cette pub était surement un poisson d’avril. Ouais mais on était encore au mois de mars quand j’ai vu ce spot! Décidément, ils ne respectent rien ces ricains, déjà qu’il appellent les frites des « french fries ». Et puis la frite c'est pas un sujet dont on peut se moquer! Et après, il vont vendre les witluuf à la feuille?
Bon sur ce je vais avaler un bon américain avec beaucoup de frites et du pickles.
Ce n'était pas un voyage officiel, mais plutôt une visite privée que son Altesse Sérénissime le Prince Albert II de Monaco a effectué à Haren.
En fait, il a visité les ateliers du chocolatier Pierre Marcolini situés rue du Bassin Collecteur. Ce n'est certainement pas un hazard si le Prince s'intéresse au travail de celui qui fut champion du Monde de pâtisserie en 1995, la maison a en effet une boutique sur le rocher.
Ce n'est pas la seule implantation de la Maison Pierre Marcolini à l'étranger; elle possède ainsi des boutique en France, au Luxembourg, en Grande Bretagne au Koweit, au Japon et plus récemment à Shanghai et... à Hawai. Et tout ce qui y est vendu est fabriqué dans les ateliers de Haren.
Pierre Marcolini est d'ailleurs un des derniers artisans chocolatier à partir de la fève pour fabriquer ses chocolats. Il n'hésite pas à parcourit le Monde pour trouver les plantations qui lui fourniront du cacao de qualité. Et lorsqu'il trouve des fèves d'exception, il n'hésite pas à les payer quatre fois le prix du marché. Autant vous dire que pour les producteurs, travailler pour Pierre Marcolini n'est pas qu'une question de prestige.