On en sait un peu plus sur les circonstances du meurtre de la chaussée de Haecht.

L'auteur des faits aurait voulu faire le plein à la station service voisine. Mais après avoir introduit ses billets dans l'automate, il se serait trompé de pompe rendant le plein impossible. Il se serait alors rendu au night shop pour tenter de récupérer son argent. L'employé lui aurait alors expliqué que la boutique n'avait rien à voir avec la station service ce qui eu pour effet de mettre le client en colère, le ton serait vite monté. Le client mécontent aurait alors sorti son arme et aurait fait feu à une reprise sur l'employé. Le meurtrier présumé aurait déclaré à la police qu'il était persuadé que la victime n'était que légèrement blessée.

Ce sont d'autres clients qui ont découvert le corps du malheureux et ont prévenu les services de secours tout en tentant de le réanimer en vain.

L'auteur a été placé sous mandat d'arrêt par le juge d'instruction en charge de l'affaire et inculpé de meurtre pour faciliter le vol.

L'auteur du coup de feu fatal ce samedi soir au night shop de la chaussée d'Haecht se serait rendu à la police ce lundi en début d'après-midi. Il s'agirait d'un schaerbeekois de 21 ans qui aurait fait feu à une seule reprise en pénétrant dans la boutique avant de tenter de s'emparer de la caisse. Il se serait rendu lorsqu'il a appris que sa victime était décédée et non pas simplement blessée comme il le pensait.

Cette information n'étant pas encore confirmée par les autorités, elle reste au conditionnel.

Samedi soir, vers 23h40, l'employé d'un night shop attenant à une station service de la chaussée de Haecht (coin Middelweg) a été tué par balle. Ce jeune homme, d'origine indienne, aurait, selon les premiers éléments de l'enquête, été victime d'un hold up qui aurait mal tourné. La police judiciaire fédérale, en charge de l'enquête, analyse les images des caméras de surveillance, l'autopsie de la victime doit avoir lieu ce lundi. 

Suite de la série consacrée aux incivilités : cette fois on s’intéresse aux ordures.

Jeter des déchets, emballage, canette ou autre en rue contribue au sentiment que notre ville est sale. Pourtant, il y a de nombreuses poubelles publiques. Mais pour certains, faire quelques mètres pour y jeter ses déchets semble un effort insurmontable.

L’amende pour déchets  jetés en rue peut se monter à 250€ à laquelle s’ajoute une taxe de la Ville de Bruxelles de 50€ !

Afin de rendre nos rues plus agréables, il est demandé de ne sortir ses sacs poubelles que juste avant la collecte prévue (au pire la veille au soir si la collecte a lieu tôt le’ matin).

L’amende pour sacs poubelles sortis en dehors des heures peut se monter à 75 à 150€ à laquelle s’ajoute une taxe de la Ville de Bruxelles de 50€ par sac!

Les dépôts clandestins semble se multiplier dans certains quartier, pourtant la collecte des déchets est bien organisée dans notre région. Outre la collecte des sacs, il existe des déchetteries et la Ville de Bruxelles organise trois fois par an une collecte d’encombrants dans caque quartier. Ces incivilités seraient-elles le fait de personnes habitant en deors de notre région ?

L’amende pour un dépôt clandestin peut se monter de 62,5 à 625€ à laquelle s’ajoute une taxe de la Ville de Bruxelles de 250€ par mètre cube!

 Dessins: RNesto

Déjà en janvier 2013, ce blog vous parlait de ce terrain du centre de Haren qui servait de décharge pour divers types de déchets. Sous couvert d’un chantier qui n’a jamais vu le jour, le propriétaire des lieux en profitait pour y stocker (y compris des containers) des déchets en évitant de devoir payer une mise en décharge agréée comme le prévoit la loi. Ce terrain se situe à quelques mètres de l’église (monument classé, et le long d’une fermette en pierres locales qui était une dépendance du château de Cortenbach.

Après la publication sur ce blog, « La Capitale » mais aussi d’autres médias (y compris tv) avaient pris le relais. La Ville de Bruxelles s’en était émue et avait sommé le propriétaire des lieux d’évacuer ces déchets, ce qui fut fait… dans un premier temps.

Mais comme j’ai pu récemment le constater, le terrain sert à nouveau de décharge. Un riverain témoigne que le terrain n’est pas resté « propre » très longtemps. Et il est compréhensible que les habitants de la rue Sainte-Elisabeth se lamentent, car outre la pollution visuelle, ces déchets de toutes natures sont source d’odeurs nauséabondes (surtout en été) et attirent des rats.

Le souhait des riverains est que la Ville ne soit plus aussi conciliante avec le propriétaire des lieux et lui impose à présent de lourdes sanctions financières.