En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Il est difficile d'ignorer que le 25 mai prochain nous serons appelés à remplir notre devoir (je dirais plutôt droit) d'électeurs.
Mais pour que la démocratie puisse s'exprimer, les bureaux de vote doivent faire appel à des citoyens pour remplir le rôle d'assesseurs. Auparavant, ceux-ci étaient désignés par le président du Tribunal de première instance. Mais de nombreux citoyens tentaient de s'y soustraire avec des excuses plus ou moins bidons. Certains bureaux avaient donc des difficultés à se constituer, le président n'avait alors d'autre choix que de requisitionner les premiers électeurs qui se présentaient.
Pour tenter de résoudre ce problème, il est à présent possible de se porter volontaire pour être assesseur et ce, depuis le scrutin de 2012. Toutefois, si le nombre le volontaires est insufisant, c'est suivant l'ancien système que les assesseurs seront désignés.
Que ce soit bibelots, jouets, vêtements, meubles ou autres, on a tous chez soi des objets dont on a plus besoin. Et dans la mesure ou ils sont encore en bon état, on rechigne à les mettre aux rebuts.
Alors pourquoi ne pas les donner à quelqu'un qui les recherche? Encore faut-il que donneurs et acquéreurs puissent se rencontrer. C'est dans cette optique que s'est créé Gratiferia. Ce "marché gratuit" se tiendra chaque premier mercredi du mois de 18h30 à 19h30 à la Maison de Quartier, rue Cortenbach, 11.
Le principe est simple: vous venez avec ce dont vous n'avez plus besoin (mais vous pouvez aussi venir les mains vides) et si vous trouvez votre bonheur parmi ce que les autres participants ont apporté, vous pouvez repartir avec, le tout sans échange d'argent.
Il s'agit d'une démarche solidaire et citoyenne puisque ces objets retrouveront ainsi une seconde vie.
GRATIFERIA-MARCHE GRATUIT chaque premier mercredi du mois de 18h30 à 19h30 à la Maison de Quartier, rue Cortenbach, 11
Impossible de savoir pour le moment si le projet de golf public de l'échevin des sports verra le jour, ni si celui-ci s'implantera finalement à Haren.
Je vous propose néanmoins de faire le tour des infrastructures sportives présentes dans notre village. Elles sont utilisées par une vingtaine de clubs implantés chez nous.
Tout d'abord le terrain de football. Il a à présent un revètement synthétique, ce qui présente plusieurs avantages notamment en terme d'entretien. Il faut dire qu'auparavant, au fur et à mesure de l'avancement de la saison, le gazon laissait la place à la poussière ou à la boue. De nouveaux vestiaires ont également été érigés, les précédents datant des annés 40! Quatre clubs de football ont élu domicile à Haren.
En bordure du terrain on trouve un mat pour le tir à l'arc à la perche verticale. Haren compte un club pratiquant ce sport... en dehors de la saison footballistique...
Le hall omnisport accueille comme son nom l'indique différentes disciplines: basket, mini-foot, gymnastique...
Certains habitants regrettent que ces infrasructures soient accessibles uniquement pour les clubs, ce qui est pourtant comréhensible. Et de toute façon cette occupation n'est pas gratuite.
Il y a quand même des infrastructures accessibles à tous: à commencer par le boulodrome de la rue Sainte-Elisabeth qui comporte sept pistes. Un club de pétanque s'y réuni deux jours par semaine. Malheureusement, ce terrain est dépourvu de toilettes publiques malgré les demandes réitérée du club. La Ville a bien proposé il y a quelques semaines d'en implanter, mais suite à l'avis défavorable de la Commission Royale des Monuments et Sites qui jugeait le projet trop proche d'un bâtiment classé (l'église) le projet a été recalé. Copie à revoir donc.
Il y a aussi un terrain de mini-foot entre la rue de Verdun et le sentier du Keelbeek, mais cela fait bien longtemps que, faute d'entretien régulier, celui-ci ne permet plus de pratiquer. Il y a même une époque ou celui-ci aurait pu être qualifié de canisite géant! D'aucuns plaident donc pour une refonte de ce terrain tout en maintenant sa vocation de sport pour tous.
Aucune piscine à Haren, en fait la plus proche est celle d'Evere. Ce qui est problématique lorsque des jeunes harenois veulent suivre des stages de vacances organisés par la Ville de Bruxelles, on les envoie vers la piscine de Neder over Heembeek; mais chacun sait que si à vol d'oiseau c'est relativement proche, en transports en commun cela relève de l'expédition.
Enfin, la STIB dispose à Haren d'un centre sportif très complet et semble-t-il sous utilisé. Mais malgré de nombreuses demandes, parfois relayées par les autorités communales, la socièté de transport a jusqu'à présent toujours refusé d'en autoriser l'accès à des tiers.
Qui sait, il y a peut-être à Haren une graine de grand sportif à l'instar de ce jeune champion du Monde cycliste qui était sponsorisé à l'époque par un grossiste en bières de Haren bien connu. Le reconnaissez-vous? C'était en 1964.
Il y a quelques semaines, je vous parlais de la proposition d'achat groupé de gaz et d'électricité "verte" faite par la Ville de Bruxelles (relire "Groupés pour moins payer"). Au moment ou j'écris ces lignes, 1422 bruxellois se sont déja inscrits. Il faut dire que l'offre peut paraître allèchante puisque les économies peuvent se monter, suivant le cas, à 350 € par an pour un ménage.
Rappelons que cette proposition s'adresse à tous les habitants de la région bruxelloise (pas uniquement Bruxelles-Ville) mais aussi aux indépendants, professions libérales et petits commerces. La clôture des inscriptions est fixée au 13 mars.
Pour achever de convaincre les plus hésitants, la Ville de Bruxelles organise des séances d'information sur son territoire. A Haren celle-ci se tiendra le jeudi 27 février.
Information achat groupé d'énergie le jeudi 27 février à 19 heures à la Maison de Quartier, rue Cortenbach, 11 1130 Haren
N'en déplaise à la personne qui choisit les illustrations de ce blog, je ne parle pas ici de la chausse de bois autrefois prisée des agriculteurs, ni même des pieds de nos amis les chevaux, mais bien des sabots dits "de Denver" redoutés par les automobilistes.
La commune voisine d'Evere (très fréquentée par les harenois) a en effet décidé d'avoir recours à ce procédé pour lutter contre le stationnement irrégulier. Leur première cible: les véhicules immatriculés à l'étranger qui ne règlent jamais leurs amendes, mais pas seulement: en cas de récidive d'infraction au règles de stationnement en application dans les 6 mois, un sabot pourra être apposé sur nimporte quel véhicule. Pour le libérer, le propriétaire devra s'acquitter de toutes ses contraventions ainsi que d'un montant forfaitaire de 175 € correspondant aux frais de placement et d'enlèvement du sabot.
Evere est ainsi la deuxième commune en région bruxelloise après Schaerbeek à appliquer cette mesure qui devrait voir le jour fin mars.